Iruya
Je reviens un peu en arrière pour vous montrer deux photos d'Iruya, un petit village complètement perdu dans un canyon, pas très loin de la frontière bolivienne, et à 3 heures de bus de Humahuaca, la ville où j'ai passé deux jours à la fin de mon voyage.
Départ pour Iruya le matin dans un vrai bus des montagnes. Résistant à souhait pour passer sur la route qui n'est pas asphaltée et qui passe dans le lit d'un rio (elle n'est praticable que par beau temps donc !). Il fait super froid dans le bus car le soleil vient juste de se lever et que nous sommes à plus de 3000 mètres. Ca ne va pas s'améliorer car nous passons par un col à plus de 4000 mètres. Nous ne sommes pas beaucoup dans le bus, et le trajet dure 3 heures. Arrivés au sommet du col, on a une vue magnifique sur la vallée qui est vraiment impressionnante car nous sommes très haut. Nous allons pas mal descendre pour arriver à Iruya (2000 mètres de dénivelé). La montagne ici prend plein de couleurs différentes, surtout du rose et du jaune qui dominent jusqu'au canyon.
A 11 heures nous arrivons dans le petit village et je dois déjà acheter mon billet de retour qui est prévu à 15 heures.
Pendant ce temps je me promène dans le village, je prends des photos, et je vais me poser sur une terrasse pour manger avant de repartir.
Voilà mon bus (l'autre partait plus tard), et sur l'autre photo le petit village vu du haut d'une des rues.
Je ne suis resté que deux jours dans la région de Humahuaca, mais c'est là où nous avons eu le plus de contrôles policiers dans les bus. Nous sommes proches de la frontière avec la Bolivie et apparemment ils recherchent la coca. L'usage des feuilles de coca en petites quantités est toléré bien que la loi l'interdise, mais les policiers cherchent des quantités plus importantes.
D'ailleurs tout le monde dans le bus (je suis dans un bus avec 90 pour cent d'indiens) mastiquent la coca, qui dégage une odeur vraiment pas top, limite vomitoire. Et quand ils te parlent tu ne vois que les dents vertes et les petits morceaux qu'ils postillonnent vers toi !
Je suis retourné le jeudi 30 mai à Salta pour rejoindre Fabien qui lui était parti dans une autre direction.
La vague de froid qui touchait l'Argentine n'avait pas épargné la ville et nous étions dans un hôtel très sympa (à chaque étape ici nous allions dans le même car les gens étaient vraiment cool), mais malheureusement les travaux de chauffage n'étaient pas fini et il pelait dans les chambres. Nous avons empilé les couvertures (5 au plus dur de la nuit!)
Voila une photo qui résume bien la situation :
Le lendemain nous partions pour Buenos Aires
Départ pour Iruya le matin dans un vrai bus des montagnes. Résistant à souhait pour passer sur la route qui n'est pas asphaltée et qui passe dans le lit d'un rio (elle n'est praticable que par beau temps donc !). Il fait super froid dans le bus car le soleil vient juste de se lever et que nous sommes à plus de 3000 mètres. Ca ne va pas s'améliorer car nous passons par un col à plus de 4000 mètres. Nous ne sommes pas beaucoup dans le bus, et le trajet dure 3 heures. Arrivés au sommet du col, on a une vue magnifique sur la vallée qui est vraiment impressionnante car nous sommes très haut. Nous allons pas mal descendre pour arriver à Iruya (2000 mètres de dénivelé). La montagne ici prend plein de couleurs différentes, surtout du rose et du jaune qui dominent jusqu'au canyon.
A 11 heures nous arrivons dans le petit village et je dois déjà acheter mon billet de retour qui est prévu à 15 heures.
Pendant ce temps je me promène dans le village, je prends des photos, et je vais me poser sur une terrasse pour manger avant de repartir.
Voilà mon bus (l'autre partait plus tard), et sur l'autre photo le petit village vu du haut d'une des rues.
Je ne suis resté que deux jours dans la région de Humahuaca, mais c'est là où nous avons eu le plus de contrôles policiers dans les bus. Nous sommes proches de la frontière avec la Bolivie et apparemment ils recherchent la coca. L'usage des feuilles de coca en petites quantités est toléré bien que la loi l'interdise, mais les policiers cherchent des quantités plus importantes.
D'ailleurs tout le monde dans le bus (je suis dans un bus avec 90 pour cent d'indiens) mastiquent la coca, qui dégage une odeur vraiment pas top, limite vomitoire. Et quand ils te parlent tu ne vois que les dents vertes et les petits morceaux qu'ils postillonnent vers toi !
Je suis retourné le jeudi 30 mai à Salta pour rejoindre Fabien qui lui était parti dans une autre direction.
La vague de froid qui touchait l'Argentine n'avait pas épargné la ville et nous étions dans un hôtel très sympa (à chaque étape ici nous allions dans le même car les gens étaient vraiment cool), mais malheureusement les travaux de chauffage n'étaient pas fini et il pelait dans les chambres. Nous avons empilé les couvertures (5 au plus dur de la nuit!)
Voila une photo qui résume bien la situation :
Le lendemain nous partions pour Buenos Aires